Lors de la première installation de Linux, et surtout lors d’une migration à partir d’un autre système d’exploitation il est préférable de défragmenter le disque dur et de préparer une partition libre prête à accueil Linux.
Si c’est une installation d’une distribution Linux conviviale (comme Ubuntu) le partitionnement du disque est automatisé et fait de manière simple. Toutefois pour obtenir plus de puissance de l’installation de Linux, il est conseillé de partitionner manuellement le disque dur de manière a donné à chaque partition la possibilité de travailler au maximum de ses capacités pour profiter d’un Linux tout en puissance, il est conseillé de partitionner de la manière suivante (peut importe la taille de la partition principale ou du disque dur):
Pour rendre Ubuntu plus facile à installer pour ceux qui ne connaissent pas Linux, il offre partitionnement guidé. Fondamentalement, le processus d’installation va partitionner votre disque dur sans que vous ayez à intervenir. C’est très bien si vous êtes nouveau sur Linux ou sont tout simplement pas à l’aise partitionnement de votre disque dur manuellement. Toutefois, le partitionnement assisté est très basique, il ne fait que diviser votre disque en deux partitions. La plus petite sera la partition de swap (celui-ci sera généralement pas plus de quelques giga-octets). La plus grande partie du disque dur contiendra tout le reste (c’est à dire abritera la racine du système de fichiers – /). Bien que ce type de partitionnement est facile et servira de base à vos besoins, si vous décidez d’allouer manuellement la taille des partitions de votre disque dur, vous pouvez obtenir les avantages suivants :
/ (Appelé aussi root) : c’est la racine du système de fichier, il est conseillé d’utilisé le système de fichier « extk » le plus récent (ext4 actuellement).
/boot : contient les informations nécessaires au démarrage, ne nécessite pas beaucoup d’espace (20 Mo suffisent), mais lui accorder plus d’espace ne nuira pas au système (512 Mo conseillé) et un système de fichier ext 2 ou ext 3 ferait largement l’affaire.
swap : une partition un peu particulière, elle sert à stocker des information temporairement, quand la RAM n’est plus capable d’en stocker. Il est d’ailleurs conseillé de lui accordé le double de la taille de cette dernière (la RAM).
/home : le répertoire personnel ou tous les utilisateurs auront leurs fichiers, la mettre en partition séparée permet de garder toute les données intactes dans le cas d’une perte ou d’une erreur fatale du système. La taille dépend de l’utilisateur, mais il est conseillé de la laisser en dernier pour lui attribué tout l’espace restant.
/usr : la plus part des paquets installé dans le système se trouvent sur cette partition, la séparer du système permet de garder les programmes et logiciels installé si le système est perdu. Ici aussi la taille dépend de l’utilisation du système, mais il est conseillé de lui attribué au moins 2 Go.
/var : les données présentes sur cette partition subissent des changements fréquent (d’où le nom var : variable) comme les journaux système, des informations de compatibilité, des information de l’utilisation d’un serveur web, ect …
Taille conseillé : entre 2 Go et 20 Go.
/Var/log : système enregistre vivent habituellement ici, et il peut être une bonne idée d’isoler les journaux système dans d’autres parties du système, compte tenu de l’importance de journaux ne peuvent être diagnostiqué les problèmes quand quelque chose se passe mal.
Bien sure ce ne sont que des conseils parmi tant d’autre il ne fait pas oublié que ces changement peuvent varier selon l’utilisateur ou les taches que la machine doit accomplir, ou de la présence (ou pas) d’autre systèmes d’exploitation.